Bienvenue dans mon portfolio. Cette page est divisée en trois catégories : peinture, digital et pochoir, représentant mes trois activités principales actuelles. Bien que j’apprécie explorer différents domaines, le temps me limite. Alors selon les périodes, je me concentre sur certaines plus que d’autres. Voici celles qui ont captivé la majeure partie de mon temps ces derniers mois.
Portfolio Peinture
Je me spécialise principalement dans la peinture de portraits, adoptant un style coloré que l’on pourrait qualifier de pop cyberpunk. J’apprécie particulièrement jouer avec les contrastes entre l’ombre et la lumière, cette dernière étant souvent teintée de couleurs saturées. Cela crée l’effet visuel d’un environnement où les sujets semblent entourés de lampes néons aux teintes variées, évoquant l’image d’une ville futuriste.
Comme mentionné précédemment, mes créations sont fortement influencées par le cyberpunk et la culture asiatique. Elles intègrent également des éléments du déconstructivisme architectural, de la biomécanique, de l’idée d’humain amélioré et s’inspirent des comic books. Mon attention se concentre sur les visages, cherchant à transmettre une variété d’émotions à travers mes œuvres.
Je privilégie l’acrylique et le pinceau, mais j’utilise également des Posca et de la bombe de couleur dans mon processus artistique. Avant de débuter un projet, j’élabore souvent une illustration digitale qui se rapproche du résultat final souhaité.
En général, mon support favori est la toile, j’apprécie également peindre sur du bois et des murs pour diversifier mes supports artistiques.
J’apprécie particulièrement les combinaisons de couleurs complémentaires, en particulier celles associant les bleus, verts et turquoises avec les roses, rouges et oranges. Le noir occupe également une place significative dans mes œuvres, car je crois que c’est ce qui confère une stabilité visuelle, une bonne dose de noir.
Portfolio Digital
J’ai deux approches distinctes en illustration digitale.
La première consiste à créer des projets pour mes peintures, cherchant à approcher le plus possible le résultat final pour mes toiles. Ces illustrations demandent des heures de travail, avec plusieurs essais généralement.
La deuxième approche est plus stylisée et volontairement grossière. J’ajoute de l’usure, des imperfections, et je crée des effets d’impression délibérés, reflétant aussi mon approche du pochoir. Le style de ces illustrations oscille entre la sérigraphie et la lino gravure, et leur conception prend moins de temps que la première approche.
Je ne parlerais pas ici de mes influences pour les illustrations qui sont destinée à être peintes sur toile car j’en ai déjà parlé dans la partie peinture.
Pour les illustrations digitales de ma deuxième approche, mes influences se concentrent principalement sur les techniques d’impression. Je m’inspire des caractéristiques techniques telles que les effets de trame, les décalages de couches et les taches résultant d’une mauvaise répartition des encres. J’intègre également des éléments plus propres aux écrans, tels que des glitches.
En ce qui concerne les sujets, mes inspirations proviennent de l’occultisme, du conspirationnisme, du mystique, ainsi que des publicités vintage.
Je travaille principalement sur un iPad Pro M1 de 11 pouces, utilisant l’Apple Pencil. La portabilité me permet de dessiner où l’inspiration me prend. Mes applications préférées sont Procreate, Affinity Designer et Affinity Photo. Je maîtrise aussi bien le travail en bitmap qu’en vectoriel.
Pochoirs
Je me concentre principalement sur les portraits, explorant divers effets et erreurs d’imprimerie, déformant les sujets, réalisant des collages digitaux et intégrant ces éléments dans mes images à découper. J’apprécie l’aspect ludique de tourner les images au ridicule pour créer des compositions originales.
Mes influences proviennent des magazines rétro, souvent en noir et blanc, ainsi que d’une variété d’images récupérées ici et là. Il m’arrive parfois d’utiliser mes propres illustrations. Les artistes qui m’inspirent incluent C215, Jef Aérosol, Speedy Graphito, Orticanoodles et Papy Microgramm (qui a disparu depuis des années).
Je conçois toujours des fichiers vectoriels, la plupart du temps créés à la main. Ensuite, j’imprime les différentes couches sur du papier épais d’au moins 200 grammes et je procède à la découpe au scalpel. Cette approche artisanale apporte une dimension tangible à mes créations.
Mes sujets principaux se situent toujours dans des tons de noir, blanc et nuances de gris. Ensuite, j’interviens sur le fond et les effets graphiques avec des couleurs que je choisis en fonction de mes humeurs du moment, apportant ainsi une dynamique visuelle à mes créations.
